Il peut y avoir des incohérences dans la grammaire et l'orthographe vu que j'ai fait la traduction à l'aide de google !!!

Gilles Witz

 

Dans tous les pays en guerre, il y a eu naturellement des auxiliaires féminines dans l'armée : chauffeurs, standardistes, ambulancières, sténographes (secrétaires) mais aussi des femmes engagées directement dans les opérations militaires.
 
         Les anglaises on été beaucoup sollicitées dans l'effort de guerre et dans la logique de guerre totale. Ces femmes courageuses et volontaires se devaient de franchir ce pas : s'engager dans les armées et porter l'uniforme.
         Et là encore, la Grande-Bretagne fait figure de pionnière. En 1914, le recrutement pour l'armée est basé sur le volontariat. En 1918, pour compenser les lourdes pertes armées humaines, on crée le Women's Auxiliary Army Corps (WAAC) et le Women of the Royal Navy (WREN), lesquels comportent près de 100 000 femmes à la fin de la guerre.
 
Avec le début de la seconde guerre mondiale les femmes sont à nouveau briquées pour intégrer ces forces armées. 
 
    Cependant, de nombreuses voix s'élèvent contre cette initiative, l'argument principal des opposants : il était contre nature d'envoyer des femmes se faire tuer à la guerre. Néanmoins ce qui était traditionnellement admis pour les femmes civiles - se faire tuer - ne l'était pas pour les femmes en uniforme. Dès lors, une autre question s'est posée à propos de ces anglaises : cette révolution dans les institutions sociales ne risquait-elle pas d'en entraîner une autre dans les moeurs de la femme par définition pudique ?

 
Les ATS : Auxiliary Territorial Service
 
                                                                        
    Les ATS sont les auxiliaires féminines de l'armée de terre en Grande-Bretagne. Très motivées, c'est par dizaine de milliers - 34 000 volontaires dès 1940 et près de 200 000 en 1943 - qu'elles accomplissent de nombreuses tâches et deviennent vite très populaires.
 
photo ci-contre : des ATS sont de sortie       
 
 
    Elles sont encadrées par des vétérants de 14-18, l'armée fermant les yeux sur leur âge. L'Angleterre, a le chic pour créer des uniformes qui restent dans les mémoires. Celui des ATS est sévère : solides chaussures noires, veste lourde, jupe mi-mollets kaki, casquette à visière ornée d'une broche surmontée de la couronne royale, cravate et chemisier. Tout est kaki, même les sous-vêtements !
 
     Tout y est strictement  militaire, la vie dans le baraquement, la hiérarchie. Le solde est la même pour les hommes et les femmes, c'est-à-dire dix pences par jour plus le gite, le couvert et l'habillement. Les tâches accomplies sont également identiques à l'exception du maintien des armées ou plutôt de leur emploi.
 
photo ci-dessus : ATS en fonction devant un abris-bus.
photo ci-contre : un vétéran de la Grande guerre inculque la discipline à de jeunes recrues.
 
     Elles participent au ravitaillement, conduisent les véhicules. De plus, elles partagent les mêmes risques que les hommes en cas de bombardements aériens.
      Les ATS sont nombreuses à être employées dans la Défense passive sous les bombardements du Blitz. Plusieurs dizaines d'entre elles sont affectées à la lutte contre les incendies. ATS défilant avec leur masque à gaz
 


Les WAAF : Women's Auxiliary Air Force

 

    Elles ont été très présentes durant la bataille d'Angleterre et sont plus de 182 000 à la fin de 1943, elles constituent ainsi 22 % du personnel sur les bases aériennes militaires et dans les stations de radar.

 
    Les WAAF constituent l'armée de l'air britannique, elles dépendent de la RAF (Royal Air Force) qui  est l'armée de l'air britannique. Elles ne sont pas autorisées à voler n'y à combattre, mais cela ne les empêchent pas d'être au même titre que leurs compagnons d'armes, exposées aux bombardements visant les aéroports militaires au début de la bataille d'Angleterre.
 
     Comme dans les autres corps, les tâches des femmes sont nombreuses et variées. Le rêve de beaucoup d'entre elles est de voler. D'ailleurs, beaucoup d'entre elles y parviennent, après avoir confirmé un brevet de pilotage acquis la plus part du temps avant leur entrée dans ce corps (la pseudo-égalité est remise en cause : les hommes eux, ont le droit de voler).
Mais à défaut de pouvoir voler, elles intègrent l'ATA (Air Transport Auxiliary). 
 
     Les WAAF sont célèbres pour leur rôle de plotters, marqueuses de radars. Ces traceuses dirigent de leur râteaux, les petits parallélépipèdes représentants les escadrilles ennemies sur d'immenses tables, cartes des stations radios de la RAF (Royal Air Force, l'armée de l'air masculine). Ce travail exige une rapidité et une grande attention, la moindre erreur peut-être lourde de conséquences.
 
Photo haut dessus Poltters du WAAF opérant en janvier 1944 dans une base de RAF en Ecosse 
 
     Les WAAF, jeunes et pleines d'entrain s'en sortent à merveille : KEEP SMILING THROUGH !!! 

 

 
 
   Les WRENS: Women's Royal Navy Service :

    Les anglais disent les WRENS ou lieu de WRNS. Elles sont le plus souvent à terre au lieu d'être en mer, en effet elles ne sont pas présentes sur les navires de guerre.
 
Une jeune WRENS  
 
 
    Toute fois, certain équipage de vedettes portuaires et même de vedettes de sauvetage en mer, peuvent être constituées exclusivement de femmes.
 
     Les WRENS, à la différence des deux autres corps, forment un corps indépendant directement rattaché au ministère de la marine. Les effectifs y sont moins nombreux, passant de 1 500 en septembre 1939 à 40 300 à la fin de 1942.
 
 
Des WRENS s'habillent
  



    Les WRENS ont la réputation d'être un corps d'élite, avec une meilleure instruction, une formation plus complète et un uniforme plus seyant quoique sobre (bleu marine  naturellement!)
 
 
    C'est aussi une révolution dans les moeurs : leur tenue de travail comporte un pantalon. Pas moins de 80 fonctions leur sont dévolues : tâches domestiques (pour 30 % d'entre elles), transmissions et service météo, travaux technique, allant de l'entretient mécanique jusqu'à la vérification et au transport des torpilles. 
Photo ci dessus : une équipe de WRENS procède à la visite d'entretien d'un sous-marin

 
    Promotion et distinction reste difficile à acquérir sauf pour celles qui arrivent à se hisser au rang de leur spécialité.
 
    On comptera plus de 450 000 femmes britanniques engagées dans les trois corps armées à la fin de la guerre. Cela n'ira pas sans quelques réactions de mauvaises humeurs de l'armée, d'abord, hostile à la présence des femmes, dans la population ensuite et notamment chez les femmes plus âgées, interrogées (lors de sondages confidentiels) et qui s'indignent de voir des filles aller le soir dans les bars, boire, fumer et rire "comme des hommes"
 



 

Infirmières militaires :                                                   
 

    S'il y a  un uniforme que revêtent les anglaises en temps de guerre, c'est celui d'infirmière. Religieuses ou civiles, ces femmes avaient conquis leurs lettres de noblesse avant la guerre, apportant dans toute cette horreur une note de douceur, de compassion et d'humanité.
    Ces infirmières sont plutôt placées à l'arrière, dans les hôpitaux, mais aussi au front sous les bombardements.
     La Seconde Guerre mondiale venue, ces regulars nurses voient leurs effectifs renforcés par des infirmières réservistes.
     Comme la Grande-Bretagne en a la tradition, il existe de nombreux corps d'infirmières militaires : Queen Alexandra's Royal Naval Nursing Service ou Princess Mary's Royal Air Force Nursing Service ... chaque corps crée son propre uniforme.
photo ci-contre : infirmière Britannique à Londres après une frappe de V2 (missile allemand).
     Ces corps ont des traditions et des statuts différents et confèrent tous à ces femmes le grade d'officier ou au moins son équivalent.
      Chez les infirmières de la RAF, la "matrone en chef" à même le rang prestigieux d'Air Commodore.
      Les premières femmes médecins font leur apparition dans les corps féminins des trois armées exerçant en tant qu'infirmières dans les hôpitaux militaires.
      En 1945, se sont les infirmières britanniques, les premières à hospitaliser les survivants des camps de concentration. Beaucoup sont intransportables et dans un état physique lamentable. Le nouvel ennemi à combattre est le typhus (maladie infectieuse et contagieuse) qui n'a évidemment pas arrêté ses ravages lorsque les camps ont été libérés.
 
Irish nurse, Sister Theresa Jordan, (below centre),photographed at Cuxhaven, Germany, with No.10 Casualty Clearing Station, which was part of Queen Alexandra's Imperial Military Nursing Service, (QAIMNS), during the Second World War. Theresa worked in North Africa and in France, and was Mentioned in Despatches.

 

AUTRE SOURCE:

Évacuation :

Jeunes mères ayant de jeunes enfants ont été évacuées des villes considérées comme en danger. Au total, 3,5 millions d'enfants ont été évacués mais beaucoup sont allés avec un professeur. Jeunes enfants étaient normalement enseignées par les femmes, beaucoup de ceux qui sont allés avec les enfants étaient des femmes. Le fait que les femmes étaient perçues comme étant le peuple qui a enseigné le plus jeune était quelque chose qui avait cours depuis des années.

Armée de terre des femmes :

Comme dans World War One, femmes furent appelées à aider sur le terrain et armée de terre (WLA de la femme) a été reformé en juillet 1939. Leur travail est vital, comme tant d'hommes ont été appelés dans l'armée.

En août 1940, seulement 7.000 femmes avaient rejoint, mais avec la crise causée par les sous-marins allemands de Hitler, un énorme disque a partir de cette date pour obtenir davantage de femmes travaillant sur le terrain. Même Churchill craint que le chaos provoqué par les U-Boote à nos fournitures d'Amérique mourraient de faim sur la Grande-Bretagne.

Le gouvernement a tenté de faire croire que le travail de la WLA était glamour et annonces il a montré que celle-ci. En fait, le travail était dures et jeunes femmes travaillées habituellement dans des collectivités isolées. Beaucoup ont vécu dans les cottages de travailleurs ans ferme sans courir, eau, électricité ou gaz. L'hiver, en particulier, pourrait être difficile surtout que les femmes devaient casser le sol à la main prêt à l'ensemencement. Cependant, beaucoup de femmes ont mangé bien qu'il y avait une offre abondante d'animaux sauvages dans la campagne - lapins, lièvres, faisans et perdrix. Ils étaient payés 32 shillings par semaine - sur 1,60 £.

En 1943, la pénurie de femmes dans les usines et sur terre conduisent au gouvernement s'arrêtant les femmes des forces armées. Ils ont eu un choix de chaque travail sur le terrain ou dans les usines. Ceux qui ont travaillé sur le terrain a fait un travail très précieux pour le peuple britannique.

Travail en usine :

Beaucoup de femmes ont décidé qu'ils travailleraient dans une usine. Ils ont travaillé dans toutes sortes de production allant de la fabrication de munitions d'uniformes aux avions. Les heures travaillées étaient longues et certaines femmes devaient se déplacer vers les endroits où les usines. Ceux qui ont déménagé touchaient un salaire plus.

Femmes qualifiées pourraient gagner 2,15 £ par semaine. Pour eux cela devait sembler beaucoup. Mais les hommes exécutaient le même travail touchaient un salaire plus. En fait, il n'était pas inconnu pour les hommes non qualifiés obtenir plus d'argent que les travailleuses qualifiés. Ce n'était clairement pas acceptable et en 1943, à l'usine de Rolls-Royce à Glasgow, les femmes ont fait grève. Ceci a été considéré comme étant hautement antipatriotique en temps de guerre, et quand les femmes grévistes sont allés sur une manifestation de rue à Glasgow, ils ont bombardé avec des oeufs et de tomates (sans doute pourris et non comestibles comme le rationnement était toujours en), mais les manifestants bientôt arrêtés quand ils ont découvert à quel point les femmes étaient payés.Les femmes avaient une partie-victoire alors qu'ils revenaient pour travailler sur la rémunération d'un travailleur semi-qualifié mâle - pas au niveau de l'ouvrier masculin qualifié mais mieux qu'avant la grève.

Service volontaire des femmes (WVS) :

Pendant le Blitz sur Londres, femmes dans les organisations non gouvernementales ont fait un travail très important. Service volontaire féminin fourni pompiers avec thé et rafraîchissements lorsque l'élucidation a eu lieu après un bombardement. Le WVS avait 1 million de membres en 1943. La plupart étaient assez âgée que les jeunes femmes étaient dans les usines ou le travail dans les exploitations agricoles et sont trop épuisées pour faire le travail supplémentaire une fois qu'ils eurent fini leur quart de travail. Le WVS fourni également thé et des rafraîchissements pour ceux qui à l'abri dans le métro de Londres. Fondamentalement, le WVS a fait tout ce qui était nécessaire. À Portsmouth, ils ont recueilli suffisamment ferraille pour remplir quatre wagons... en seulement un mois. Ils ont aussi regardé après les gens qui ont perdu leurs foyers allemands bombardement - le soutien qu'ils ont fourni pour ces gens choqués qui avaient tout perdu était incalculable. Lorsque le WVS n'étaient pas à l'appel, ils tricot chaussettes, passe-montagnes, etc. pour les hommes de service. Certains groupes WVS adopte un marin pour lui fournir des vêtements chauds tricotés.

Le Service Territorial auxiliaire :

Dans l'armée, tous les trois services ont été ouverts pour les femmes à rejoindre - l'armée, l'armée de l'air et la marine. Les femmes ont également été nommées comme air raid wardens.

Dans l'armée, femmes a rejoint le Service Territorial auxiliaire (ATS). Comme soldats, ils portaient un uniforme kaki. Les affiches de recrutement ont été glamorous - certains ont été considérés comme trop glamours par Winston Churchill - et beaucoup de jeunes filles s'est joint à l'ATS parce qu'ils croyaient qu'ils mènerait une vie glamour. Ils devaient être déçu. Membres de l'ATS n'a pas obtenu l'emploi glamour - ils ont agi comme conducteurs, travaillées dans les salles de mess où beaucoup avaient à éplucher les pommes de terre, agi un nettoyant et ils ont travaillé sur des canons antiaériens. Mais un ordre par Winston Churchill interdit Mesdames ATS de déclencher en fait un pistolet d'AA, car il estimait qu'ils ne seraient pas en mesure de composer avec les connaissances qu'ils pourraient avoir abattu et tué les jeunes allemands. Son attitude était bizarre comme Mesdames ATS ont été autorisées à suivre un plan, de fusionner les coquilles et d'être là quand le câble de mise à feu a été tiré...En juillet 1942, l'ATS a 217 000 femmes en elle. Alors que la guerre a traîné en longueur, les femmes dans l'ATS pouvaient faire des soudeurs d'emplois comme devenus plus excitants (des jamais vu dans la rue « ce »), charpentiers, électriciens, etc..

Aviation auxiliaire féminin :

Les femmes qui a rejoint la Royal Air Force ont été dans la Force aérienne auxiliaire féminin (WAAF). Ils ont fait la même chose que l'ATS (cuisson, de secrétariat, travail etc.), mais les occasions étaient là pour travailler un peu plus excitant. Certains pu travailler sur Spitfires. D'autres ont été utilisés dans les nouvelles stations de radar utilisées pour suivre l'ennemi entrant des formations de bombardiers. Ces sites radar étaient généralement la première cible pour les bombardiers Stuka donc un poste dans l'un de ces stations de radar pourrait être très dangereux. Cependant, les femmes dans cette unités devaient être les oreilles avertissement précoce et les yeux de la RAF pendant la bataille d'Angleterre. Pour tout cela, les femmes ne pouvaient pas s'entraîner pour devenir pilotes d'avions de guerre. Certains étaient membres de l'Air Transport auxiliaire (ATA) qui volait des avions de la RAF d'une usine à base d'une escadrille de chasse. Il y avait 120 femmes dans cette unité hors 820 pilotes au total. Les femmes ont eu moins d'accidents que les pilotes masculins, mais ils n'étaient pas bienvenus comme rédacteur en chef du magazine « Avion » clairement : ils (femmes ATA) « n'ont pas l'intelligence à frotter le plancher d'un hôpital correctement. » Il, C.G. Grey, a affirmé qu'ils étaient une « menace » lorsque vous voyagez.

Agents secrets :

Femmes étaient également utilisées comme agents secrets. Ils étaient membres du SOE (Special Operations Executive) et ont été généralement parachutés en France occupée ou reçus dans des plans spéciaux de Lysander. Leur travail était exceptionnellement dangereux comme un seul feuillet pourrait conduire à la capture, de torture et de mort. Leur travail a été de découvrir tout ce qu'ils pouvaient pour soutenir les alliés pour le débarquement prévu en Normandie en juin 1944. Les plus célèbres membres SOE féminins ont été Violette Szabo et Odette Churchill. Tous deux ont reçu la George Cross pour le travail, ils l'ont fait - la George Cross est la plus haute récompense de la bravoure qu'un civil peut obtenir. Tous deux ont été capturés et torturés. Violette Szabo a été assassiné par la Gestapo alors qu'Odette Churchill a survécu à la guerre.

Divertissement :

Les femmes étaient aussi extrêmement importantes en matière de divertissement. Les deux artistes femelles plus célèbres pendant la guerre ont été Vera Lynn (maintenant Dame Vera Lynn) et Gracie Fields. Chant de Vera Lynn (« Il y aura des oiseaux bleus sur les falaises blanches de Douvres » et « Nous allons rencontrer à nouveau, ne sais pas où, ne sais pas quand ») a apporté beaucoup de bonheur à beaucoup en Grande-Bretagne. Elle était connue comme la « Sweetheart de Forces ». Gracie Fields était un autre favori avec les forces.

1945 :

Fin de la guerre en Europe en mai 1945. En ce moment, il y a 460 000 femmes dans l'armée et plus 6,5 millions dans les travaux de la guerre civile. Sans leur contribution, notre effort de guerre aurait été gravement affaibli et il est probable que nous n'aurait pas été capables de se battre pour notre plus grande force sans l'apport des femmes. Ironie du sort, dans l'Allemagne nazie, Hitler avait interdit les femmes allemandes pour travailler dans les usines d'armement allemande car il estimait que la place de la femme était à la maison. Son plus haut conseiller de l'industrie, Albert Speer, a plaidé avec Hitler pour lui permettre d'utiliser des travailleurs féminins allemands mais jusqu'au bout, Hitler refuse. Hitler était heureux pour les femmes étrangères capturées travailler comme esclaves dans ses usines de guerre mais pas allemand. Beaucoup de ces travailleurs esclaves, hommes et femmes, délibérément saboté le travail qu'ils ont fait - donc à leur manière, ils ont aidé l'effort de guerre des alliés.

LES PHOTOS:

Queen Elizabeth II  WWII

Armée britanique/photo 2/An Auxiliary Territorial Service ATS motorcycle despatch rider in Northern Ireland 26 September 1941

Armée britanique/photo 2/British_Army_ATS_women_at_Shoeburyness_in_WWII

Armée britanique/photo 2/britishwomenwartime1939

Armée britanique/photo 2/Caribbean Women in WW2 Britain

Armée britanique/photo 2/Dangerous work Auxiliary Territorial Service spotters scan the skies

Armée britanique/photo 2/Duty An ATS spotter scans the skies with binoculars at an anti-aircraft command post in December 1942 with a 3.7 inch anti-aircraft gun in the background

 

Armée britanique/Royal Army Service Corps instructor at York 23 May 1941

Armée britanique/WAAF Military Medal winner's

Armée britanique/Women of the Queen Alexandrias Royal Army Nursing Corps on parade

Armée britanique/Women pilots of the Air Transport Auxiliary

Irish nurse

     RAF Medical Services

Armée britanique/A repair worker being pulled out of the barrage balloon she is fixing as part of her duties with the Womens Royal Auxiliary Air Force WAAF 8 March 1940

Members of Queen Alexandra’s Imperial Nursing Service arrive at the Normandy bridgehead, June 1944.

Armée britanique/aviatrice vivid snapshot of working life for British women during World War Two

Armée britanique/member of the Queen Alexandras Imperial Military Nursing Service

Photo du dessus à droite Armée britanique/Action stations Members of the Army Catering Corps are put through their paces during a training course in the early years of the war

 

Armée britanique/photo 2/Essential Trainee pilot Nancy Nesbit pictured in her Army training plane at Avenger Field later joined the Womens Auxiliary Ferrying Squadron

Armée britanique/photo 2/Mums army A sergeant drilling civilian members of the Womens Home Defence Corps in the use of rifles during the Battle of Britain in 1940

 

RAF Medical Services                            Service Corps instructor at York 23 May 1941

 

The Wrens Female Dispatch Riders

Womens Royal Naval Service WRNS

LES AFFICHES

 

INSIGNES

 

2 Queen Mary's Army Auxiliary

Queen Alexandra's Royal Army Nursing Corps brass shoulder title

KC aQueen Alexandra's Royal Army Nursing Corps

KC Queen Alexandra's Royal Army Nursing Corps Association

Queen Marys Army Auxiliary

Womens Army Auxiliary Corps pour épaulettes

Womens Army Auxiliary

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British Womens Land Army

 

Queen Alexandra's Royal Navy Nursing Service Officers

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